Le Gouvernement est pleinement mobilisé pour veiller à garantir le bon fonctionnement des réseaux de télécommunications indispensables pour les services de secours et de soins et l’usage massif des solutions de télétravail, de télé-éducation, qui sont fortement mobilisés en période de confinement.
Dans ce cadre, le Gouvernement a engagé, en lien avec l’ARCEP (régulateur des télécoms) et les principaux opérateurs de télécommunication, un suivi quotidien des réseaux et des mesures prises afin de garantir la stabilité et la qualité des communications voix et de l’accès à Internet, pour l’ensemble des usages.
Si la situation actuelle ne soulève pas d’inquiétude générale, le Gouvernement prend toutes les mesures nécessaires pour garantir le bon fonctionnement des réseaux.
Ainsi, le Gouvernement a appelé à une utilisation responsable des réseaux par l’ensemble des usagers afin d’éviter la congestion pendant les heures de pointe, sans se priver d’accès à ses contenus préférés (accéder à la vidéo ici). Par ailleurs, le Gouvernement salue les mesures responsables prises par les principaux fournisseurs de contenus, notamment vidéos, sur Internet.
Les contenus vidéos de ces acteurs représentent aujourd’hui près de la moitié de l’utilisation de la bande passante. C’est pourquoi, en coordination étroite avec les demandes formulées par le Commissaire européen au marché intérieur Thierry Breton, le Gouvernement a appelé en milieu de semaine ces principaux fournisseurs de contenus vidéos à la responsabilité afin qu’ils envisagent les mesures appropriées pour réduire les risques de saturation des réseaux.
A la suite de ces contacts, plusieurs acteurs, et notamment Netflix, Youtube (Google) et AmazonPrime se sont engagés à mettre en place de manière proactive des mesures techniques pour réduire l’utilisation globale de la bande passante d’au moins 25% pendant une période de 30 jours, sans bien sûr remettre en cause l’accès de leurs utilisateurs à l’ensemble des programmes et contenus proposés.
En outre, Disney a annoncé le report en France du lancement de son service Disney+ de 15 jours, soit au 7 avril prochain, afin de prendre, en lien avec les opérateurs les mesures nécessaires pour que le lancement de cette nouvelle plateforme de films, séries, documentaires se déroule dans les meilleures conditions, sans faire peser de risques sur le bon fonctionnement de réseaux.
« Des gestes simples peuvent permettre à tous de continuer à avoir accès dans de bonnes conditions à tous les contenus vidéo » a précisé Franck Riester, ministre de la Culture. « Lorsque vous souhaitez regarder la télévision en direct, privilégiez si possible la réception par la TNT et par satellite ou, à défaut, l’accès par le « boîtier multiservices » (box) de votre opérateur. Pour les services de vidéo à la demande ou la télévision de rattrapage, privilégiez aussi, si vous le pouvez, le boîtier multiservices (box) de votre opérateur plutôt que d’y accéder directement sur internet. Avec ces mesures faciles à mettre en œuvre, nous pourrons collectivement continuer à bénéficier de toute la richesse des programmes, qui jouent un rôle essentiel durant la période que nous vivons ».
« Dans la période de crise que nous traversons, nous nous félicitons des décisions importantes qu’ont pris les plus grands fournisseurs de contenus sur Internet pour éviter tout risque de saturation des réseaux de télécommunications. En particulier, je salue le sens de la responsabilité de Disney qui a décidé de reporter de 15 jours le lancement en France de sa plateforme vidéo Disney+ », a déclaré Cédric O.
Pascal Le Digol, Country Manager France chez Watchguard Technologies, nous livre sa vision de l'impact de l'intelligence artificiellel'intelligence artificielle sur la sécurité informatique ou quand l'IA luttera contre... l'IA.
Que devient Second Life depuis 2003 et ses années de gloire ? Lokazionel a posé la question au service presse de Linden Lab et voilà les éléments de réponse reçus.
La société déclare compter aujourd’hui plus de 23 000 régions actives, avec en moyenne, 750 000 visiteurs actifs par mois. La valeur globale des échanges financiers entre dans Second Life est restée stable à environ 500 USD pour 2018, un niveau similaire à celui des deux dernières années. Car n’oublions pas que le business est une activité importante dans ce monde virtuel. Et Brett Atwood, Director Marketing chez Linden Lab de nous déclarer : « Chaque année, les plus grosses activités affichent un chiffre d’affaire à six chiffres en dollars américains. Une poignée de personnes parmi les plus performantes génèrent une activité à sept chiffres par an en US dollars. Il s’agit généralement d’entreprises bien établies dans Second Life, notamment des spécialistes de l'immobilier virtuel, de la mode, des biens et des services. A noter que les dirigeants de ces entreprises réinvestissent largement leurs bénéfices dans Second Life. »
Fondée en 2016 par trois jeunes ingénieurs, la startup Bilberry a développé un système basé sur des algorithmes de deep learning, permettant de réduire l'utilisation d'herbicides sur les terrains agricoles. Grâce à des caméras embarquées directement sur le matériel de désherbage et d'un ordinateur de bord, la solution de Bilberry scanne le terrain, identifie en temps réel les mauvaises herbes, et contrôle automatiquement la pulvérisation. Ainsi, les désherbants ne sont pulvérisés que là où c'est nécessaire. Ce dispositif permet en moyenne aux exploitants de réaliser 80% d'économie, tant sur les quantités d'herbicides utilisés que sur les coûts associés.
En seulement deux ans, la jeune startup a connu une croissance exceptionnelle, et continue son développement à l'international, notamment en Australie. Une innovation et une réussite qui ont valu à Bilberry de recevoir, en octobre 2018, le Trophée CAP'TRONIC dans la catégorie Jeune Entreprise.
C'est en 2014 que Guillaume Jourdain, Hugo Serrat et Jules Bequerie, tout juste sortis d'école d'ingénieur, ont eu l'idée de développer une solution à base d'intelligence artificielle appliquée au secteur agricole. Après un an de recherches, d'études sur le terrain et de rencontres avec des exploitants et des coopératives, il est apparu que le traitement des mauvaises herbes constituait un problème majeur, tant en termes de coûts que d'impact écologique.
Les trois ingénieurs décident alors de développer un système permettant de localiser la pulvérisation des herbicides uniquement sur les mauvaises herbes. La startup Bilberry est créée et dépose ses premiers brevets dès 2017.
« Notre solution permet de réaliser en moyenne 80%, explique Guillaume Jourdain. Par exemple, une pulvérisation initiale de 100 litres d'herbicides par hectare, peut être réduite à 20 litres par hectare. Sur de grandes surfaces agricoles, on peut rapidement réaliser des économies de dizaines de milliers de litres de glyphosate, et de millions de litres d'eau. »
Depuis sa création en 2016, Bilberry a dépassé le million d'euros de chiffre d'affaires, a multiplié ses effectifs par six et a déposé cinq brevets européens. Présent en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Bulgarie, la jeune startup a commencé l'année dernière à commercialiser sa solution en Australie, où elle est à l'œuvre en ce moment-même pour le désherbage d'été.
Depuis décembre 2018, près de 7 000 hectares de terrains ont d'ores et déjà été scannés en Australie. D'ici la fin de la saison de désherbage, au mois de mars prochain, plus de 20 000 hectares devraient avoir été couverts. A l'heure actuelle, les économies réalisées par les clients australiens sont de l'ordre de 90%.
« Notre objectif aujourd'hui, en termes de surfaces, se situe entre 5 000 et 30 000 hectares scannés sur deux mois, précise Guillaume Jourdain. Plus les surfaces sont grandes, plus la solution s'avère rentable pour l'exploitant. »
La startup a récemment reçu une subvention de 500 000 euros de la région Ile-de-France pour continuer à développer ses produits qui sont conçus à 100% en interne.
En octobre 2018, Bilberry s'est vue décerner le Trophée CAP'TRONIC dans la catégorie Jeune Entreprise, lors de la journée « Cap sur l'Innovation », l'un des évènements incontournables de l'année dans l'écosystème de l'innovation en électronique et logiciels embarqués.
CAP'TRONIC a permis à Bilberry, au moment de la création de l'entreprise, de finaliser son cahier des charges et de réaliser une étude technico-économique de son système. Cet accompagnement avait permis de créer les premières architectures systèmes.
Un nouveau réseau social ? Non... Et pourtant si ! Jollyclick.com est bien une nouvelle plateforme de mise en relation et son président, Christopher des Fontaines, est venu expliquer à Lokazionel ce qu’elle avait d’innovant. A vous de juger.
Fujitsu transforme le parcours client en magasin, pour plus d’efficacité, grâce à l'Intelligence Artificielle (IA).
MSI, leader du marché du hardware PC pour le gaming, s’associe à l’éditeur international de jeu vidéo et entertainment Ubisoft pour permettre aux joueurs de s’immerger toujours plus dans le best-seller de la fin d’année 2018, Assassin’s Creed Odyssey grâce à la dernière technologie de synchronisation d’éclairage d’ambiance du constructeur, MSI Ambient Link. L’application Ambient Link est conçue pour synchroniser parfaitement tous types de panneaux lumineux modulables ainsi que les produits MSI équipés de Mystic Light avec les images du jeu afin de créer une ambiance lumineuse immersive pour étendre le champ de bataille à la salle de jeu.
MSI étudie depuis déjà plusieurs années les différentes expériences, comme la Réalité Virtuelle, permettant aux joueurs de s’immerger naturellement dans leur jeu favori. Faisant partie des leaders du marché du Gaming PC, MSI souhaite ainsi se diriger vers de nouvelles expériences permettant non plus de « jouer au jeu » mais de « Jouer dans le jeu ». Avec une passion commune pour l’innovation, c’est naturellement qu’Ubisoft et MSI ont travaillé main dans la main pour offrir un niveau d’immersion sans précédent à Assassin’s Creed Odyssey, grâce à Ambient Link.
S’appuyant sur le logiciel exclusif de MSI, Mystic Light Sync, l’Ambient Link propose encore plus de fonctionnalités à la pointe des technologies d’affichage : Un vrai ancrage dans l’ambiance de la Grèce Antique ainsi que des dizaines de presets d’éclairage pour apporter plus de profondeur dans tous les compartiments du jeu, que le héros reçoive de nouveaux pouvoirs et récompenses ou qu’il fasse de mauvaises rencontres...
Un des éléments clefs de l’Ambiant Link est sa faculté à apporter des informations via tous les médias à sa disposition. Ainsi, les claviers MSI au rétroéclairage par touche apportent des détails en temps réel via leurs LED, tandis que les panneaux modulaires tels que les Nanoleaf Aurora transportent les joueurs dans une aventure sensorielle en créant des ambiances rappelant un ciel azuré, des forêts vertes denses, un feu de camp, des pluies de météores et bien plus encore !
Parce que chaque joueur souhaite exprimer sa personnalité à travers l’ambiance de son décor, MSI Ambient Link permet des centaines de combinaisons différentes pour leur apporter cette customisation.
Si cela peut apparaître comme un petit pas vers une expérience complétement immersive, MSI Ambient Link a pour ambition de changer sur le long terme le concept d’immersion, de la même façon que la technologie IMAX a révolutionné l’industrie cinématographique et la manière de voir ses films.
«C’était une chance de pouvoir travailler main dans la main avec les développeurs d’Ubisoft afin d’apporter aux joueurs la meilleure ambiance pour leur expérience de jeu. MSI Ambient Link est à même de pousser le concept d’immersion dans Assassin’s Creed Odyssey à un autre niveau !» explique Sam Chern, assistant Vice-Président du marketing Global chez MSI.
Avis d'expert par Stéphane Roder, CEO et Fondateur de AI Builders
L'introduction de l'intelligence artificielle va donner lieu à une nouvelle vague de modifications des chaines de valeur. La désintermédiation comme la réintermédiation sont des phénomènes destructeurs de valeur pour l'entreprise contre lesquels elle doit se prémunir dès aujourd'hui avec une stratégie offensive.
Il aura fallu plus de 15 ans aux entreprises, toute industrie confondue, pour comprendre que la digitalisation de leur environnement leur imposait de réaliser leur « transformation digitale ». En attendant, que n'avons-nous vu d'accidents industriels majeurs décimant des pans entiers d'industrie en quelques mois. Apple avec iTunes a ruiné les disquaires avant que le streaming ne les achève, Amazon a fait disparaitre de notre paysage nos bons vieux libraires et s'attaque maintenant à la grande distribution, Netflix avec son abonnement a réduit à la portion congrue les chaînes de la TNT, LastMinute a montré la voix de l'achat du voyage en ligne et décimé les agences de voyages sans parler de Booking qui fait la pluie et le beau temps de toute l'industrie hôtelière pendant que Airbnb la saborde gentiment.
La liste est trop longue mais en intégrant avec du retard les enjeux stratégiques de ces technologies du digital, ces industries, ces sociétés, aveuglées par leur position dominante et leur business model n'ont pas su prendre les positions à porter de main laissant de nouveaux intermédiaires digitaux venir s'insérer dans leur chaine de valeur ou les faire passer de vie à trépas. D'abord utilisés dans le domaine bancaire, ces concepts ont été repris par le marketing. On parle de désintermédiation quand l'intermédiaire disparait (les disquaires, ) et de réintermédiation quand un nouvel intermédiaire vient s'insérer dans une chaine de valeur (Booking, ).
L'Intelligence artificielle va faire de même dans des proportions et des ordres de grandeur d'une autre magnitude si nous n'y prêtons pas attention.
Au-delà du fantasme anthropomorphique que beaucoup voudraient attribuer à l'IA, cette technologie permet de reproduire quelques raisonnements et ouvre la voie à de nouvelles interactions avec la machine. Grâce à leurs facultés d'apprentissage, ces nouveaux algorithmes digitalisent des savoir-faire, des expertises et permettent de faire des recommandations en raisonnant sur un très grand nombre de paramètres, sur des contextes complexes, des signaux faibles et leur temporalité, l'historique. C'est ce que l'on appelle le caractère « prescriptif » de l'intelligence artificielle.
Cette nouvelle capacité à valoriser des données en produisant des recommandations doit être préemptée au plus vite à travers des offres prescriptives pour consolider des positions dans les chaines de valeur. Airbus vend aux compagnies aériennes de la maintenance prédictive basée sur les données qu'il récolte sur chaque avion et augmente la durée de vie des pièces plutôt que de les mettre au rebu sur des durées de vie fixes. Le constructeur de drone DelAir propose déjà des analyses des vidéos rapportées par ses drones pour déterminer le besoin d'élagage des voies TGV en reconnaissant la vitesse de pousse des espèces végétales présentes sur le parcours. Ces deux sociétés ont valorisé les données qu'elles produisent pour créer de nouvelles offres sans attendre que de nouveaux intermédiaires voient le jour et s'immiscent dans leur chaine de valeur.
Quand ces capacités prescriptives sont combinées avec du traitement du langage naturel, il est possible de rentrer dans des cas d'usage d'interaction simple avec l'humain comme par exemple la compréhension d'un besoin, puis d'un contexte pour déboucher sur une proposition personnalisée de produits. Les sociétés d'asset management, qui auparavant distribuaient leurs produits financiers à travers des conseillers en patrimoine, vont vendre en direct leurs produits aux particuliers. Dans une offre très complexe, le client disposera d'outils de conseil pour avoir accès à des recommandations de fonds adaptés à son profil d'investissement. En désintermédiant leur distribution, ces industriels écartent le risque de se faire réintermédier par un acteur qui pourrait intégrer leur savoir-faire avec de l'IA et capter une partie de la valeur en proposant leurs produits à la vente.
Les start ups sont les plus fragiles vis-à-vis de cette nouvelle vague de réintermédiation. Après avoir passé 4 ou 5 ans à faire du développement classique, conquérir un marché et atteindre l'équilibre, dans la très grande majorité des cas, l'IA est totalement absente de leur culture. Ces petites merveilles devront elles aussi se défendre pour ne pas disparaitre, écrasées par de nouveaux entrants utilisant les mêmes données avec une offre prescriptive. Il leur faudra elles aussi savoir se transformer. Un vrai challenge pour ces sociétés à la capacité d'investissement réduite ou plutôt un vrai souci pour leurs actionnaires et fonds d'investissement qui n'ont pas intégré ce besoin de financement.
Tous les acteurs de l'industrie vont être concernés par les effets de la possible réintermédiation prescriptive de leur chaine de valeur. Il ne leur faudra pas s'arrêter à la simple augmentation des métiers avec l'IA et intégrer au plus tôt cette analyse stratégique à leur Schéma Directeur IA pour éviter que ces opportunités ne se transforment à long terme en réel danger.
Quel amateur de livres n’a pas rêvé un jour d’agencer sa propre bibliothèque ? Avec tous ses livres référencés et bien rangés ? Pour pouvoir les retrouver rapidement. Et ce dans un lieux un peu extraordinaire où partager ses appréciations et ses avis avec d’autres lecteurs passionnés seraient un plaisir et une source de connaissances... Si ce rêve reste compliqué à réaliser en dur, pourquoi ne pas lui faire prendre forme virtuellement ? Sur le web et en 3D par exemple ? Ou dans un logiciel ? C’est ce que se propose de faire Lokazionel.
En effet, nous imaginons une plateforme de type jeux en ligne où chaque utilisateur pourrait entrer dans une session (room pour les gamers) qui seraient une bibliothèque, sa bibliothèque ou celle de son voisin, en 3D. Votre personnage/avatar pourrait s'y promener, y découvrir les ouvrages, tchatter, échanger voire utiliser d’autres fonctionnalités à imaginer autour des livres. Parce que le livre papier existera encore longtemps et fascinera toujours. Et que le livre numérique aura toute sa place dans un tel environnement virtuel.
Les technologies envisagée pour ce projet sont Blender pour les objets 3D puis Unity 3D pour le « jeu » et Photon pour la plateforme multi-joueurs, ou plutôt multi-lecteurs. Ce sera peut-être une occasion de créer « un jeu pour lire »... N’hésitez pas à commenter cette idée dont nous vous ferons part de l’évolution sur lokazionel.fr.
Déjà déployée dans près de 450 hôpitaux dans 60 pays, la technologie d'intelligence artificielle SOPHiA, analyse aujourd'hui un patient toutes les 5 minutes. L'IA SOPHiA franchit un nouveau cap en aidant à mieux diagnostiquer plus de 200.000 patients dans le monde.
Adoptée par une communauté de près de 450 hôpitaux dans 60 pays, l'IA SOPHiA prouve ainsi être la technologie la plus robuste et standardisée que les cliniciens utilisent pour le support à la décision. SOPHiA est la première IA à analyser le profil génomique de plus de 200'000 patients dans le monde.
L'utilisation encore récente de technologies digitales en santé crée un nouveau monde d'opportunités pour aider à mieux diagnostiquer et traiter les patients. Le développement du séquençage de nouvelle génération (NGS) en particulier, promet d'améliorer la prise en charge des patients souffrant de maladies héréditaires ou du cancer. 6% de la population mondiale est concernée par les maladies héréditaires, de plus, une personne sur deux sera diagnostiquée avec un cancer ces prochaines années. Dans les deux cas, l'analyse génomique clinique au travers du NGS aide à déchiffrer l'origine moléculaire derrière ces maladies pour traiter la cause de ces dites maladies, plutôt que d'agir sur les conséquences.
L'analyse des données génomiques et son interprétation est extrêmement complexe et peut s'avérer très difficile à mettre en place en pratique clinique. L'IA SOPHiA répond à ces problèmes de complexité en rendant ces données pertinentes tout en aidant les cliniciens a rapidement adopter la génomique clinique.
SOPHiA GENETICS, le leader mondial de la médecine basée sur les données (Data-Driven Medicine), est reconnu pour ses technologies innovantes et leur impact considérable sur la vie des gens. La société a été listée par le MIT Technology Review parmi les « 50 smartest companies worldwide » et plus récemment dans le « top 10 most innovative biotech companies » par le magazine américain Fast Company.
« Quand nous avons lancé SOPHiA GENETICS, nous avions un objectif simple mais ambitieux, créer quelque chose qui aiderait à mieux diagnostiquer et traiter le plus grand nombre de patients. Nous sommes très heureux de voir que notre technologie est désormais aussi largement adoptée avec un tel impact au niveau mondial ». Commente Jurgi Camblong - CEO & Co-fondateur de SOPHiA GENETICS.